La Première ministre a indiqué au Parisien qu’elle avait convenu avec le président de la République de se donner de la visibilité pour les prochains mois.
Cette déclaration fait suite à l’appel lancé par Élisabeth Borne à ne pas précipiter les choses avec les syndicats, ce qui a suscité des questions sur sa relation avec Emmanuel Macron.
Cependant, elle a souligné qu’elle ne compte pas quitter son poste de sitôt, non pas pour des raisons de carrière, mais parce qu’elle pense être toujours utile dans la crise que traverse le pays.
Selon un stratège de la macronie cité par le quotidien, cette visibilité s’étendrait jusqu’aux élections sénatoriales de septembre.
La Première ministre a également indiqué qu’il n’y avait pas de remaniement en vue pour l’instant et qu’elle ne croit pas en une « nouvelle majorité que personne n’a vu venir ».
Comme elle l’a déjà dit, elle continuera à chercher des majorités « texte par texte ». Lors de cette rencontre, Élisabeth Borne a également critiqué Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, pour avoir parlé d’une « crise démocratique » dans le pays, estimant que ce n’était pas le rôle d’un leader syndical de se prononcer sur cette question.
La crise démocratique à été créée dés le premier jour de l’élection présidentielle par ceux qui les ont perdues. Refuser le suffrage universel, comme les Trumpistes est une honte pour la France. Les insoumis en sont les orchestres, suivis hélas par ceux qui se sont fait dupés ! Je trouve décevant que les syndicats aient embrayés sur ces postures en disant avant même de discuter, refuser cette réforme. C’est nouveau de penser que ce soit les syndicats qui doivent décider si une réforme doit être ou pas
faite. Maintenant dire que c’est la faute à notre président que les gens ne se rendent pas aux urnes, c’est la aussi une grave accusation car cela fait bien longtemps, avec les partis traditionnels, ou magouilles, frondeurs de droite comme de gauche ont démoralisée l’électorat. Il faudra bien qu’ils mettent un peu d’eau dans leur vin et se ressaisir, si non les extrêmes qui veillent viendrons nous empoisonner la vie.
et pour nous vous été aussi inutile que votre président des gros je vous donnerais ma retraite 1300 e