L’exécutif veut aller au-delà de 1100 euros de retraite minimum pour une carrière complète.
C’est en tout cas l’ambition du gouvernement conformément à une promesse de campagne d’Emmanuel Macron.
Dans un entretien accordé aux Echos et publié ce 14 novembre, le ministre du Travail Olivier Dussopt a indiqué « Au vu de l’inflation et de la revalorisation du smic, nous comptons aller au-delà de 1 100 euros, (…) autour des 85% du smic net », soit 1 130 euros aujourd’hui ».
Selon le ministre, il s’agit de créer un écart suffisant entre le minimum vieillesse, qui est aujourd’hui de 953 euros pour une personne seule et la retraite minimale. Le but étant de valoriser le travail, a poursuivi Dussopt estimant que cette démarche permettra à près de 25% de nouveaux retraités d’avoir une pension plus conséquente.
Par ailleurs, Olivier Dussopt a détaillé dans cet entretien les régimes spéciaux qui seront concernés par la réforme. Il cite notamment deux des industries électriques et gazières, de la RATP ainsi que celui de la Banque de France.
Selon ses dires, le gouvernement « privilégie la clause du grand-père, sur le modèle de la SNCF, qui a fermé l’accès au régime spécial pour les nouveaux agents ».
Également, le ministre est revenu sur l’éventuel décalage de l’âge de la retraite progressive. Il a indiqué que les paliers seraient décalés d’autant quand l’âge d’ouverture des droits est décalé.
Vous n’êtes pas sans savoir que les transports de voyageurs manquent de conducteurs tant en région, qu’au niveau national?
Et, s’il n’y avait pas de retraités ayant repris du service, la pénurie serait encore plus importante?
Ma suggestion porte sur le travail des retraités conducteurs d’autocars de tourisme et chauffeurs de bus de lignes.
Pour ma part, retraité du transport de marchandises depuis 2004, j’ai été sollicité par un autocariste pour du « remplacement ».
Cela fait 18 ans et c’est avec un grand plaisir que je pratique cette activé « partielle ».
Certes, la liquidation et le paiement de la retraite sont actifs depuis cette date. Cependant , je continue de verser aux caisses de retraites 6,9% du salaire perçu, plafonné à la sécurité sociale, plus, 0,4% de sécurité sociale déplafonnée et 4,79% de complémentaire de tranche1.
Je suis entré en activité en septembre 1961, sans aucune période de chômage, j’ai 75 ans et toujours sollicité par manque de candidats à ces postes de conducteurs, ne sera t-il pas possible, de revaloriser la pension à cette catégorie de seniors retraités actifs quand ils arrêteront définitivement leurs services?
Des jeunes, qui n’ont jamais eu, et ou chercher un emploi perçoivent des indemnités sans rendre de comptes à la collectivité?
En cette période de négociation budgétaire, vous serait-il possible d’attirer l’attention des ministères concernés.
Merci de faire suivre, si possible ministère concerné!
bonne nouvelle pour les nouveaux retraités mais pour ceux qui sont déjà retraités rien alors que les retraites ont été très mal calculées pour les retraités ,les caisses de retraites eux s’en sortent très bien
et l argent qu il veut piquer a l agirc et l arco pour boucher ses trous c est facile de donner comme ca connard.
Je trouverai juste que ceux qui travaillent après l âge de la retraite puissent avoir un complément de retraite et aussi bénéficier des indemnités maladie puisqu’ils sont les Bouches tous des métiers que les jeunes ne veulent pas prendre le chômage et les aides diverses sont plus rentable malgré que je ne suis pas dans ce cas de figure juste écœurée de voir mon petit voisin de 75ans se lever à 5 heure du matin pour assurer les tra.sports scolaires .et s être vu supprimer ses indemnités maladie par e qu il s est arrêté durant un arrêt maladie
ses 1100€ il va les donner en 2050 comme le reste