Le Premier ministre prend la parole devant les députés Renaissance après la dissolution de l’Assemblée nationale
Ce mardi 11 juin 2024, Gabriel Attal, Premier ministre, a pris la parole devant les députés Renaissance lors d’une réunion de groupe à l’Assemblée nationale, marquant ainsi sa première intervention publique depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée par le président Emmanuel Macron.
Une Prise de Parole Cruciale
Un engagement sans faille
Gabriel Attal a affirmé son engagement sans réserve envers ses responsabilités : « J’irai au bout de mon devoir de citoyen attaché à son pays, qui donnera tout pour éviter le pire. » Il a également souligné sa détermination à défendre et protéger les intérêts des Français jusqu’à la fin de son mandat.
Réaction à la Dissolution de l’Assemblée
Une décision inattendue
Le Premier ministre a reconnu la surprise causée par la dissolution de l’Assemblée nationale : « C’est une décision soudaine. Je sais que c’est brutal pour vous, vos collaborateurs et ceux qui repartent au combat. »
Mobilisation et Motivation
« La messe n’est pas dite »
Pour encourager les élus de la majorité, Gabriel Attal a insisté sur le fait que « la messe n’est pas dite ». Il a souligné que les enjeux actuels sont très différents de ceux de 2022 : « Le combat qui commence a des enjeux très différents de ceux des européennes. »
Une Élection Cruciale
Un enjeu historique
Le Premier ministre a souligné l’importance cruciale des élections à venir : « Cette élection a un enjeu plus dramatique et historique que celle de 2022 : l’extrême droite est aux portes du pouvoir et la Nupes a montré un spectacle révoltant depuis deux ans. »
Renforcer les Rangs
Les valeurs de Renaissance
Gabriel Attal a affirmé que les candidatures des députés Renaissance représentent « le seul choix clair », incarnant la stabilité, la fierté et le courage face aux populismes et aux extrêmes.
Réactions mixtes
Malgré l’enthousiasme affiché par le Premier ministre, tous les élus n’ont pas été rassurés. Un député présent à distance a confié à BFMTV : « Rien de nouveau. C’est plat. » Cependant, les députés ont demandé à Attal de participer activement à la campagne et d’apparaître sur leurs affiches, ce à quoi il a consenti.