Matteo Salvini during the convention of Lega Party Winds of Change Rome, Italy - 23/03/2024 //MISTRULLI_WOCH_035/Credit:Luigi Mistrulli/SIPA/2403231830
Le vice-chef du gouvernement italien, Matteo Salvini, n’a pas mâché ses mots en critiquant le président français Emmanuel Macron, le qualifiant de « dangereux » suite à ses récentes déclarations sur l’Ukraine. Voici un récapitulatif de ses propos et de leurs implications.
Déclarations controversées d’Emmanuel Macron
- Appel à une intervention en Ukraine : Salvini a réagi aux commentaires d’Emmanuel Macron sur la possibilité d’envoyer des troupes occidentales en Ukraine pour contrer la Russie. Il a jugé cette suggestion comme étant « dangereuse ».
- Critique directe : Salvini a estimé que Macron et d’autres politiciens partageant ses vues devraient « se faire soigner » pour avoir des opinions aussi « dangereuses ».
Soutien à Poutine et désaccord avec l’UE
- Admiration pour Poutine : Salvini a salué le discours de Vladimir Poutine lors de son investiture, exprimant l’espoir que l’année 2024 serait « l’année de la paix » et non pas celle où des soldats mourraient en Ukraine.
- Positionnement contre l’UE : Il a critiqué les politiques de Macron, affirmant qu’il représentait un danger pour l’Europe. Salvini est également connu pour ses positions eurosceptiques et son admiration pour Poutine.
Réactions et implications politiques
- Réaction modérée du gouvernement italien : Le chef de la diplomatie italienne, Antonio Tajani, a souligné que l’Italie n’avait pas l’intention d’envoyer des troupes en Ukraine, adoptant ainsi une position modérée.
- Critiques de l’opposition : Les commentaires de Salvini ont suscité des réactions de désapprobation de l’opposition italienne, l’accusant de devenir le « porte-parole du Kremlin » et mettant en doute ses motivations politiques.
Contexte politique
- Perte de popularité pour la Ligue : La Ligue, le parti de Salvini, fait face à une perte de vitesse et est créditée de 8 à 8,5% des intentions de vote aux élections européennes de juin, selon les sondages.
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Comme à la fin des années 1930 ,ou régnaient les dictatures fascistes d’Hitler et Mussolini ;les hommes politiques français et britanniques avaient préféré se taire et se soumettre aux exigences des dictateurs (pour ne pas les « exciter » et avoir l’air de les provoquer…) ,principalement le premier ministre britannique Chamberlain respectueux de la promesse écrite de Meussieu le chancelier Hitler!
Cela avaient fortement réjoui les deux dictateurs ,convaincus de la faiblesse pour ne pas dire de la lâcheté de ces deux démocraties ,par peur d’une nouvelle guerre Et on connait le résultat..
A l’heure actuelle Macron a simplement parlé de défendre éventuellement l’Ukraine attaqué par son puissant voisin ;mais il n’a jamais été question d’attaquer la Russie qui fut une alliée dans la 2eme guerre mondiale ; Cela n’empêche pas de préparer sérieusement la France sur le plan miltaire