Impression et inquiétude
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, prévue le 26 juillet, suscite des sentiments mitigés, oscillant entre fascination et préoccupation. Interrogé sur ce cadre inédit, le président du Comité olympique britannique, Andy Anson, exprime ses préoccupations concernant la sécurité, lors d’une interview diffusée par Sky News.
Sécurité : une priorité absolue
Andy Anson souligne l’importance cruciale de la sécurité, affirmant que c’est l’une des principales préoccupations à gérer. Il insiste sur la nécessité de garantir la sécurité des athlètes, des accompagnateurs et des supporters. Selon lui, la cérémonie d’ouverture est un « environnement à haut risque », mais il affirme que les autorités françaises en sont conscientes.
Plans alternatifs envisagés
Les organisateurs des JO de Paris 2024 envisagent de tenir la cérémonie d’ouverture sur la Seine, au cœur de la capitale. Cette décision soulève des questions importantes, notamment en termes de sécurité. Emmanuel Macron, président de la République, évoque pour la première fois des « plans B et C » lors d’une interview sur BFMTV. Il mentionne la possibilité d’un repli au Trocadéro ou au Stade de France en cas de risques jugés trop élevés.
Mesures de sécurité renforcées
Pour répondre à ces préoccupations, le nombre de places gratuites le long de la Seine a été réduit, passant de 500 000 à 220 000 personnes. De plus, depuis trois semaines, le dispositif Vigipirate a été relevé au niveau le plus élevé, celui d’urgence attentat. Malgré ces mesures, le plan initial de la cérémonie d’ouverture reste à l’ordre du jour.