La Cour de cassation a confirmé ce mercredi 14 février l’ordonnance de non-lieu rendue en faveur du ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin, accusé de viol par une ancienne sympathisante de l’UMP, mettant ainsi fin à une procédure judiciaire débutée en 2017.
Un non-lieu confirmé en appel
Gérald Darmanin, témoin assisté dans cette affaire, a bénéficié d’un non-lieu en première instance en 2022, puis en appel l’an dernier. Les magistrats instructeurs ont estimé ne pas disposer d’éléments suffisants pour qualifier pénalement les faits dénoncés.
Des allégations et des dénégations
Le ministre a toujours nié les accusations, affirmant avoir eu une relation sexuelle consentie avec son accusatrice en 2009. Sophie Patterson-Spatz, la plaignante, affirmait quant à elle avoir été victime de viol lorsqu’elle avait sollicité Gérald Darmanin pour obtenir son aide dans une affaire judiciaire.
Décision de la Cour de cassation
La Cour de cassation, se prononçant sur l’application de la loi et le respect de la procédure, a rejeté la demande en nullité de l’ordonnance de non-lieu formulée par Sophie Patterson-Spatz.
Tous ces politiques , ministres etc sont toujours relaxés pour toutes histoires de viols , sexes , détournements de fonds , d’enveloppes etc ! .
Plus on est sales sous le règne actuel plus on est innocent et plus on joue aux vierges éffarouchées !A vomir !
Entièrement d’accord !