Approbation de Gabriel Attal et Emmanuel Macron
Selon le dernier baromètre Ipsos pour La Tribune, les débuts de Gabriel Attal en tant que Premier ministre sont bien accueillis par 37 % des Français. En comparaison, l’action d’Emmanuel Macron recueille l’approbation de 30 % seulement.
Détails sur l’Appréciation
- Approbation de Gabriel Attal : 37 %
- Désapprobation de Gabriel Attal : 37 %
Cette première évaluation place Gabriel Attal en tête par rapport à ses prédécesseurs immédiats, avec des résultats plus positifs que ceux d’Edouard Philippe, Jean Castex et Elisabeth Borne à leurs débuts.
Classement au Sein du Gouvernement Attal
Au sein du nouveau gouvernement, plusieurs membres sont soumis à l’évaluation des Français. Les résultats mettent en lumière les niveaux d’approbation pour certains ministres clés.
- Bruno Le Maire (Économie) : 44 % d’approbation
- Gérald Darmanin (Intérieur) : 32 % d’approbation
- Rachida Dati (Culture) : 23 % d’approbation
- Amélie Oudéa-Castéra (Éducation) : 6 % d’approbation (dernière au classement)
Ces chiffres soulignent la popularité de Bruno Le Maire, en poste depuis près de 7 ans, et la situation délicate d’Amélie Oudéa-Castéra, confrontée à une polémique liée à la scolarisation de ses enfants.
Dynamique dans l’Opposition
Du côté de l’opposition, le Rassemblement national confirme sa dynamique ascendante. Marine Le Pen est considérée comme la meilleure opposante de droite par 28 % des répondants, suivie de près par Jordan Bardella à 16 %.
Préférences pour 2027
- Marine Le Pen : 36 % d’approbation pour une éventuelle accession à l’Élysée
- Edouard Philippe : 33 % d’approbation pour une éventuelle accession à l’Élysée
- Gabriel Attal : 31 % d’approbation pour une éventuelle accession à l’Élysée
Position de Laurent Wauquiez
En revanche, Laurent Wauquiez, président (LR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes, ne recueille que 9 % d’approbation en tant que meilleur opposant de droite, et seulement 15 % envisageraient favorablement son élection en 2027.
L’enquête a été menée en ligne du 17 au 19 janvier, six jours après la nomination de Gabriel Attal à Matignon, auprès d’un échantillon représentatif de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus, utilisant la méthode des quotas.