La nomination de Rachida Dati en tant que ministre de la Culture par le président Emmanuel Macron et le Premier ministre Gabriel Attal soulève des questions, car elle est actuellement impliquée dans une procédure pénale.
Les Charges en Cours
Rachida Dati, appelée rue de Valois le 11 janvier, fait face à des accusations de « corruption passive », « trafic d’influence passif » et « recel d’abus de pouvoir ». Ces charges remontent au 22 juillet 2021, dans une affaire liée à Carlos Ghosn, l’ancien dirigeant de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Les Allégations et les Contestations
L’ex-ministre de la Justice est soupçonnée d’avoir reçu des honoraires indus entre 2009 et 2013, pendant son mandat de députée européenne, pour des conseils juridiques à une filiale néerlandaise de Renault-Nissan. Les prestations de Dati, d’une valeur de 300 000 euros annuels, sont remises en question.
Selon la convention d’honoraires, ses conseils devaient contribuer à « la détermination de la conduite de la politique d’extension internationale de l’alliance, notamment dans les pays du Moyen-Orient et du Maghreb ». La nouvelle direction de Renault-Nissan a porté plainte, contestant la réalité de la mission attribuée à Rachida Dati.
Attente des Suites Judiciaires
Les investigations du juge d’instruction sont terminées, et le Parquet national financier (PNF) doit désormais présenter son réquisitoire final. Le juge décidera ensuite des suites judiciaires. Si des délits sont reconnus, Rachida Dati pourrait être renvoyée devant le tribunal correctionnel. Sa situation judiciaire, en tant que ministre et candidate à la mairie de Paris, sera clarifiée dans les mois à venir.
Implication dans une Autre Affaire
Rachida Dati est également concernée par une enquête sur des allégations d’enlèvement, séquestration et actes de torture dans une affaire impliquant le patron du PSG, Nasser al-Khelaïfi. Des perquisitions ont eu lieu dans la mairie du 7e arrondissement de Paris et deux cabinets d’avocats en juin 2023. La situation de Dati dans cette affaire reste à clarifier.
Comment voulez-vous que ce gouvernement soit crédible ? Ce n’est pas un gouvernement, mais une association de malfaiteurs.
Les gauchos sont en chasse et font feu de tous bois. Avec la bienveillance d’une justice que l’on sait tellement prête à essayer de casser tout ce qui n’est pas de gauche. Avec la bienveillance de cette presse toujours prête à relayer les petits arrangements des premiers. Avec la jalousie généralisée de ceux qui n’ont ni le talent ni la prise de risque nécessaire pour créer quelque chose.
Madame Dati tenez bon contre tous ces négatifs
Je suis tranquille pour elle car , comme tous les politiques véreux , ils ou elles n’ont rien à craindre !
ca c est bien vrai il n y a qu a voir par exemple notre actuel ministre de la justice…..!!!!
Je suis bien d’accord ce Ministre de la Justice, entre ce qu’il dit et se qu’il accepte, rien à voir. J’ai été incarcéré 6 mois dans ce pauvre centre Pénitentier d’ ANGERS ( non aux normes de la construction) J’ai été trés surpris que dans la cour de promenade 80% des détenus fument de la drogue et quand j’ai fait la remarque aux surveillants la réponse a été » Si on laissent faire cela va devenir la révolte de ceci »