Le président de la République, Emmanuel Macron, est connu pour ses choix de mots provocateurs, suscitant souvent des réactions indignées de l’opposition. L’année 2023 n’a pas dérogé à cette tendance. Retour sur ces petites phrases qui ont marqué l’année.
« Crise Climatique : Qui aurait pu prédire ? »
Lors de ses vœux télévisés pour 2023, le président Macron crée la polémique en lançant : « Qui aurait pu prédire la crise climatique aux effets spectaculaires encore cet été dans notre pays ? » Une déclaration qui provoque la colère des militants écologistes et des scientifiques, soulignant que la première alerte sur le climat remonte à 1990.
« Les Factieux et les Factions »
Pendant la mobilisation contre la réforme des retraites, Macron déclare : « On ne peut accepter ni les factieux, ni les factions. » Des termes déjà critiqués lors des « gilets jaunes ». Cette déclaration déclenche l’indignation de la gauche, y voyant une comparaison entre manifestants pacifiques et émeutiers.
« Processus de Décivilisation »
Déplorant un « processus de décivilisation » en Conseil des ministres, Macron fait face à des accusations d’emprunt de termes à l’extrême droite. Il insiste sur la nécessité de « reciviliser » la société, soulevant des débats sur l’intégration et la refondation nationale.
« Tour du Vieux-Port pour Trouver du Travail »
En visitant Marseille, Macron déclare : « Je fais le tour du Vieux-Port ce soir avec vous, je suis sûr qu’il y a dix offres d’emploi. » Une déclaration rappelant son précédent « Il n’y a qu’à traverser la rue » pour trouver du travail. La gauche dénonce un nouveau « mépris du peuple. »
« Gérard Depardieu Rend Fière la France »
Déclarant que Gérard Depardieu « rend fière la France, » Macron suscite la controverse en se disant un « grand admirateur » de l’acteur visé par des plaintes pour viol. Il désavoue sa ministre de la Culture, invoquant la « présomption d’innocence » et déclenchant la colère des associations féministes.
Petit prétentieux !
A quoi nous a servi 1789, 1793, 1870 si c’est pour avoir de nouveau un monarque arrogant à la tête du pays ?
Comme quoi l’histoire se répète, même sous une république soit disant « démocratique ».
Bref ! Qu’il dégage !