La première ministre Élisabeth Borne a souligné l’importance cruciale du combat contre l’antisémitisme pour la cohésion nationale lors de sa participation à la marche qui s’est déroulée cet après-midi à Paris. Elle a affirmé que dans ce combat, « les postures n’ont pas leur place. »
Ciblage de partis politiques absents ou présents
Élisabeth Borne a dirigé des critiques envers La France Insoumise, soulignant que leur absence parlait d’elle-même. De même, elle a évoqué le Rassemblement national, affirmant que leur présence ne trompait personne, faisant référence à la participation du RN à la marche.
Controverse autour de la participation du RN
La décision du Rassemblement national de participer à la marche, organisée à l’initiative des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, a suscité des réactions négatives de la part des formations de gauche et de la majorité. Les antécédents antisémites du parti cofondé par Jean-Marie Le Pen sont au cœur de la controverse.
Boycott de LFI et ambiguïtés sur l’antisémitisme
La France Insoumise a décidé de boycotter la manifestation en réponse à la présence du RN. Cependant, le message du parti sur l’antisémitisme est troublé par des prises de position jugées ambiguës de son leader Jean-Luc Mélenchon.
Polémique autour des propos d’un député de LFI
La situation a été envenimée par les propos de David Guiraud, député de La France Insoumise, qui a semblé minimiser les massacres commis par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël, déclenchant ainsi une tempête politique.