Dans une récente interview, le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, a partagé son expérience de victime de harcèlement scolaire lors de ses années de collège. Voici les détails de cette confession et de ses répercussions.
Une révélation personnelle et émotionnelle
Dans une émission télévisée diffusée le 5 novembre, Gabriel Attal a ouvert son cœur en partageant un épisode traumatisant de sa jeunesse. Il a avoué avoir été victime de harcèlement scolaire alors qu’il était élève au prestigieux établissement privé de l’École alsacienne à Paris. Les attaques avaient principalement lieu en ligne, où un autre élève avait créé un site sur lequel les élèves devaient écrire des commentaires désobligeants sur leurs camarades.
Gabriel Attal a décrit la situation comme un « déferlement d’insultes et d’injures » qui a duré plusieurs mois. Les commentaires visaient son orientation sexuelle présumée, à l’époque où il ne l’avait pas encore dévoilée au grand public. Les injures homophobes ont laissé des cicatrices profondes chez le jeune Attal.
Un incident particulièrement marquant a eu lieu lorsque Gabriel Attal a emmené une fille au cinéma, suscitant la jalousie d’un camarade harceleur. Ce dernier lui aurait alors proféré des menaces en lui disant : « Je vais te détruire. » Heureusement, Gabriel Attal a réussi à en parler à un conseiller d’éducation qui a pris la situation au sérieux et lui a apporté un soutien crucial.
Cependant, sans nommer directement son agresseur lors de l’interview, Gabriel Attal a laissé entendre qu’il s’agissait de l’avocat controversé Juan Branco. Ce dernier est l’auteur de « Crépuscule », un pamphlet critique envers le gouvernement, dans lequel il révélait notamment l’orientation sexuelle du ministre. Juan Branco a réagi en dénonçant l’interview de Gabriel Attal comme « une opération de victimisation. »
Il a même accusé le ministre d’avoir été un harceleur à l’école, décrivant un jeune Gabriel Attal comme « l’un des camarades de classe les plus cruels ». Selon Juan Branco, il se moquait des plus vulnérables et affichait son mépris envers les SDF, les pauvres et l’école publique.
Bravo !!! Avec ces deux tristes sires, on se croirait dans une cour d’école !!! Harcèlement scolaire, a-t-on dit ?? Mais pas seulement, on a la forte impression que Attal et Branco n’en ont pas fini d’en découdre !!
Quelle pitié de savoir que l’un s’occupe de l’Education Nationale et que l’autre est avocat et devrait défendre plutôt qu’attaquer !! Quoique…….. on voit que ça n’est pas toujours clair, un de ceux-là ne doit pas être fier devant la Justice, en ce moment !!!