Edouard Philippe, maire de la ville du Havre et ancien Premier ministre français, fait face à une plainte déposée à son encontre, l’accusant de favoritisme et de prise illégale d’intérêts. Cette affaire survient alors que des spéculations circulent sur sa possible candidature à la présidentielle de 2027.
Les détails de la plainte
La plainte a été déposée par l’ancienne directrice générale adjointe de la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole. Elle porte sur plusieurs chefs d’accusation, notamment favoritisme, prise illégale d’intérêts, concussion, détournement de biens et harcèlement moral. Outre Edouard Philippe, d’autres personnalités sont également visées, notamment Stéphanie de Bazelaire, adjointe au maire chargée de l’innovation et du numérique, ainsi que Claire-Sophie Tasias, directrice générale des services de la communauté urbaine.
Conflit d’intérêts et la convention avec LH French Tech
La plainte trouve son origine dans une convention signée en juillet 2020 par Edouard Philippe, alors président de la communauté urbaine, avec Stéphanie de Bazelaire, qui présidait bénévolement l’association LH French Tech. Cette convention portait sur l’exploitation et l’animation de la Cité numérique du Havre. Des juristes de la communauté urbaine ont soulevé des inquiétudes quant à un potentiel conflit d’intérêts dans cette affaire.
L’association LH French Tech avait été désignée pour cette mission après un appel à manifestation d’intérêt lancé en mars 2020. Elle était la seule candidate et devait recevoir une compensation de service public de 2,154 millions d’euros de la communauté urbaine pour mener à bien les projets.
Révélations et harcèlement moral
La plaignante, dans l’exercice de ses fonctions, avait attiré l’attention d’Edouard Philippe sur le cumul de fonctions de l’adjointe au numérique, ainsi que sur la situation budgétaire de l’association LH French Tech. Elle avait également souligné les risques juridiques liés à une possible liquidation judiciaire de l’association.
Après avoir remis cette note, la plaignante affirme avoir été écartée de ses fonctions et harcelée moralement. Son contrat de trois ans n’a pas été renouvelé, et elle a depuis trouvé un poste dans l’administration centrale. Elle a déposé un dossier en mars pour obtenir le statut de lanceuse d’alerte auprès de la défenseure des droits.
Cela commence: les « boules puantes » commencent à se distribuer à la pelle, élections futures obligent! Tous y passeront afin de satisfaire la hargne de certains qui se croient « tireurs de ficelles ». C’est ça la politique!?
la machine a detruire est en route les rats sont sortis on a deja lache les chiens de garde pour nuire
vraiment la politique une usine a gaz