Soupçons d’abus de bien social autour de commissions pour la location d’un siège
Une nouvelle enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris concernant des soupçons d’abus de bien social liés aux commissions pour la location d’un siège lors de la campagne présidentielle de Valérie Pécresse, candidate de LR à la présidentielle de 2022.
Suite au signalement de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques
L’enquête a été déclenchée suite à un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) en relation avec les comptes de campagne de Valérie Pécresse. Les chefs d’accusation retenus sont l’abus de confiance et le recel d’abus de confiance. La Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) est chargée des investigations.
Soupçons sur la location du siège de campagne et les prestations de Jones Lang LaSalle
L’enquête porte sur les conditions de location d’un des deux sièges de campagne de Valérie Pécresse et les prestations fournies par le cabinet de conseil Jones Lang LaSalle (JLL). Ce dernier a facturé 62 400 euros d’honoraires pour la recherche et la négociation des locaux. La CNCCFP s’est interrogée sur la réalité et la portée « limitée » des prestations de JLL dans sa décision du 14 décembre 2022 relative au compte de campagne de Valérie Pécresse.
Des liens entre le bailleur et le cabinet de conseil Lysios Public Affairs
Les soupçons sont renforcés par le fait que les locaux loués appartenaient à un bailleur, Comet Group, qui avait déjà des liens avec le cabinet de conseil Lysios Public Affairs. Patrick Stefanini, l’un des associés de ce cabinet, était également le directeur de campagne de Valérie Pécresse.
Enquête en cours
Le parquet de Paris a confirmé que les investigations sont actuellement en cours pour élucider ces soupçons entourant la campagne présidentielle de Valérie Pécresse. La candidate elle-même a répondu à ces accusations en qualifiant les allégations de « dénonciation calomnieuse ».
Naturellement ces soupçons se termineront comme à l’habitude !
Tous ces « charognards » de politiques ne sont jamais punis. On en parle pour faire plaisir au petit peuple et ça s’arrête là !
Ils ont tous des « casseroles » au cul !!!……..et comme par hasard la queue tombe en court de route.