A quelques semaines de la rentrée scolaire, Gabriel Attal, le ministre de l’Éducation nationale, a pris position contre le harcèlement scolaire en le qualifiant de « priorité absolue ». Lors d’un déplacement dans une école à Castelnau-le-Lez (Hérault), il a affirmé que la souffrance des élèves victimes de harcèlement à l’école, amplifiée par le harcèlement en ligne, est tout simplement « insupportable ».
Un texte pour changer d’établissement le harceleur, pas la victime
Dans le cadre de la lutte contre le harcèlement scolaire, le ministre a annoncé qu’un texte serait présenté « cet été » pour permettre de changer d’établissement l’élève responsable du harcèlement. Cette mesure vise à protéger la victime en évitant qu’elle soit contrainte de quitter son école à cause de l’agresseur.
Des sanctions disciplinaires pour les harceleurs
Gabriel Attal s’est également engagé à présenter un texte permettant d’infliger des sanctions disciplinaires à un élève coupable de harcèlement, que ce soit dans son propre établissement ou en cas de cyberharcèlement visant un élève scolarisé ailleurs.
Plan interministériel en vue
Suite à la demande de la Première ministre Élisabeth Borne, Gabriel Attal sera chargé de piloter un plan interministériel sur la lutte contre le harcèlement scolaire. Ce plan sera dévoilé en septembre prochain et devrait contenir d’autres mesures visant à renforcer la protection des élèves contre ce fléau.
Bravo Attal ! Une autre pointure que le « Pape » !!
c’est un (ou une) sous pape
maintenant qu’il a dit tout çà ……… il va se passer quoi
faut pas oublier que les promesses de « tous » les politiques ne restent que des promesses tant qu’elle ne sont pas mises en pratique
Bravo Attal ! Une autre pointure que « Pape » !
Très bonne nouvelle !! Enfin !!! On ne peut plus laisser mourir ou souffrir, nos enfants de désespoir, à cause de la bêtise d’autres, et l’inaction des adultes
Pourquoi toujours des demi-mesures compliquées et en marge du bon sens ? Pourquoi ne pas simplement « virer » le harceleur ? Pourquoi simplement une sanction disciplinaire et pas une sanction pénale ?
Il a quand même fallu qu’une petite puce se suicide pour en arriver là…..il faut tout simplement considérer que les parents des harceleurs sont pénalement responsables… contrôler ce que font les enfants sur les réseaux sociaux n’est pas une option quand on est parents
Bravo M. Le Ministre il faut mettre un bon coup de tournevis !