Le président de la République Emmanuel Macron a réagi à la mort tragique de Nahel, un adolescent de 17 ans, survenue mardi matin à Nanterre en Haut-de-Seine.
Lors d’un déplacement à Marseille, il a qualifié cet événement d’inexplicable et inexcusable. Il a adressé ses condoléances, sa peine partagée et son soutien à la famille et aux proches de la victime. Le président a souligné que la mort d’un jeune ne pouvait être justifiée en aucune circonstance.
« Nous avons un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable, inexcusable », a-t-il indiqué, adressant « des mots d’affection, de peine partagée et de soutien à sa famille et à ses proches ». « Rien ne justifie la mort d’un jeune », a poursuivi le chef de l’Etat.
Appel à la vérité et à la justice
Emmanuel Macron a souligné que la justice avait été immédiatement saisie de l’affaire et a exprimé le souhait que la vérité soit établie dans les meilleurs délais. Il a insisté sur l’importance que la justice soit rendue et a appelé au calme. Le président a souligné que des troubles urbains avaient eu lieu dans plusieurs villes de France la nuit précédente et a mis en garde contre une situation qui pourrait se détériorer davantage.
Soutien aux forces de l’ordre
Le président a également exprimé son soutien aux forces de l’ordre qui s’engagent pour protéger la population. Il a rappelé que leur action était encadrée par des principes déontologiques. Cependant, ces propos ont été jugés « inconcevables » par le syndicat de police Alliance, qui a déploré une atteinte à la séparation des pouvoirs et à l’indépendance de la justice. Le syndicat a rappelé que le policier suspecté du tir mortel bénéficiait de la présomption d’innocence et a souligné que les dirigeants devaient appeler au calme et condamner fermement les violences urbaines.
Temps de l’enquête et maîtrise des émotions
Le syndicat Alliance a souligné que le temps de l’enquête devait primer sur l’émotion et a appelé à ne pas légiférer dans la précipitation. Il a rappelé que la responsabilité des dirigeants était de maintenir le calme, de condamner fermement les violences urbaines et de respecter l’indépendance de la justice. Le syndicat a insisté sur le fait que personne n’est au-dessus ou en-dessous des lois et que chacun a droit à un procès équitable.
Certes la mort de ce jeune adolescent est regrettable. Par contre, le policier n’a rien à faire en prison, il a fait son devoir, refus d’obtempérer, il a tiré, c’est normal.
Il a mal réagi car il a en quelque sorte jugé le policier devant l’opinion publique. Il ne savait rien de ce qui s’était passé en détail mais il a condamné le policier. C’est inadmissible
comme d habitude avec ce gouvernement,il donne tord à la police? c’est vraie un jeune gentil mignon comme ils disent tous,sauf quand réalité un jeune de 17 ans avec plusieurs plainte au cul qui conduit une voitute de grosse cylindrée, qui de plus loué, sans le permis sans avoir l’age qui fait un refus d’obtempérer ou est l’erreur et comment a t’il peu louer une voiture comme ça avec quel argent! certainement de l’argent sale,avec quel papier? peut etre des faux! il faut dire toute la vérité et si c’est avec un complice adulte il faudrait peut etre l’impliqué lui aussi dans cette affaire.
un soutien à la police qui devrait faire ce mobiliser pour un soutien au gendarme accusé et sali comme ça.
dans tout les cas , le policier aurais été inquiété
il laissait partir la voiture sans rien faire et celle-ci provoquais un accident mortel un peu plus loin, il aurais été impliqué
la grande différence , c’est que des innocents serais mort et un délinquant assassin en liberté
ce jeune à mérité ce qui lui est arrivé et seul ses parents en sont responsable
les politiques on encore perdu une occasion de se taire