Élisabeth Borne a affirmé qu’il n’était pas nécessaire de se séparer de Marlène Schiappa, sa secrétaire d’État, mise en cause dans la gestion du Fonds Marianne de lutte contre le séparatisme. Malgré les rumeurs de remaniement du gouvernement, Borne soutient la présence de Schiappa au sein de son équipe.
Les préoccupations des Français ne s’arrêtent pas
Borne a également souligné que les préoccupations des Français ne se limitent pas au 14 juillet, date butoir des 100 jours donnés par le président Emmanuel Macron pour établir une feuille de route de relance de l’action gouvernementale après la crise des retraites. Elle a assuré que les réponses apportées aux défis en cours continueront d’être traitées.
Motion de censure à l’Assemblée nationale
La première ministre sera confrontée à une 17e motion de censure à l’Assemblée nationale, déposée par la Nupes. Cependant, cette motion a peu de chances d’être adoptée. Borne a souligné les mesures concrètes prises par son gouvernement, notamment l’ouverture prochaine de 76 commerces en territoires ruraux grâce à l’aide de l’État.
Démenti de favoritisme
Concernant Marlène Schiappa, Borne a déclaré qu’elle était une personne engagée et qu’elle n’était pas nécessairement tenue de quitter le gouvernement. Les accusations de favoritisme dans la sélection des projets du Fonds Marianne ont été démenties par l’ancien directeur de cabinet de Schiappa lors de son audition devant une commission parlementaire.
Marlène Schiappa, foutez lui la paix, elle à fait son boulot et lui chercher des poux au milieu de tant de travail qu’elle fait est inconcevable. Favoritisme ou confiance parce que plus compétents, le choix est à la charge de celui ou celle qui en à la charge.
Toujours des critiques. Laissons travailler ceux qui sont en responsabilité puisque élus pour ça. Toujours les mêmes déçus de ne pas avoir étais élus. Arrogance malsaine qui pourri notre société.