Le gouvernement français prendra des mesures pour faire face aux enjeux du réchauffement climatique, qui pourrait atteindre jusqu’à 4°C d’ici 2100 selon une « hypothèse pessimiste ». Afin de définir une nouvelle stratégie d’adaptation, une consultation publique sera lancée ce mardi, comme l’a annoncé le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.
Objectif climatique dépassé
L’objectif initial fixé par l’Accord de Paris était de limiter le réchauffement mondial à 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle. Cependant, la France, connaissant un réchauffement environ 50% plus élevé, devrait faire face à une augmentation d’environ 3°C d’ici 2100, selon le précédent plan national établi en 2011 et révisé en 2018.
Scénario pessimiste envisagé
Dans un souci de réalisme, le gouvernement souhaite maintenant prendre en compte un « scénario plus pessimiste » qui correspond à la tendance probable en l’absence de mesures supplémentaires. Ce scénario prévoit un réchauffement mondial de 3°C, ce qui entraînerait une augmentation de 4°C en France métropolitaine, en raison de sa position géographique plus sensible au changement climatique.
Consultation publique et mesures d’adaptation
La consultation publique abordera différentes questions, notamment celle portant sur une trajectoire de réchauffement envisagée pour l’adaptation de la France. Le gouvernement propose des niveaux de réchauffement de +2°C en 2030, +2,7°C en 2050 et +4°C en 2100 en France métropolitaine. Cette consultation permettra de recueillir les avis du public.
Dans ces scénarios, des risques accrus sont à prévoir, tels que la montée des eaux, la fonte des neiges, les sécheresses et les canicules. Le gouvernement envisage donc la mise en place de plusieurs chantiers pour permettre aux pouvoirs publics de s’adapter dans différents domaines, notamment le logement, l’éducation, les transports, etc.
Ce réchauffement climatique n’ a aucune réalité, du moins quant à son origine anthropique.
Il est urgent d’organiser des confrontations publiques (télévision et autres) entre vrais spécialistes de la climatologie et responsables politiques. Des milliards risquent d’être dépensés en pure perte. Le Giec est un organisme POLITIQUE dont la compétence est contestée ou niée par de véritables scientifiques. Il est criminel de ne pas leur donner la possibilité de s’exprimer dans les médias.